Coups de gueule

Un de mes fidèles correspondants me fait part d’un message qu’il a reçu récemment au sujet d’un poisson. Un nouveau poisson asiatique : le panga. Originaire du Vietnam, c’est un poisson de culture industrielle intensive qui est en train d’envahir le marché à cause de son prix particulièrement attrayant. Il faut savoir que le fleuve Mékong et son delta sont parmi les plus contaminés du monde (résidus d’industrie, bactéries, métaux contaminés,…). Leur alimentation peu salubre (et c’est un euphémisme) n’a rien à voir avec celle d’un environnement naturel. Le panga grandit quatre fois plus vite que dans un milieu naturel. La conclusion est simple : en achetant du panga, conclut mon correspondant, on collabore avec des entreprises gigantesques sans scrupule qui ne se préoccupent pas de la santé et du bien-être. Ceci est une problématique sur laquelle je m’interroge avec acuité. J’aimerais en savoir plus…

Le dimanche 15 janvier, une de mes connaissances a assisté à une scène assez ahurissante dans un restaurant du Pays de Herve. Des inspecteurs (hygiène, fisc, travail ?) sont entrés avec une certaine brusquerie pour se précipiter vers les cuisines afin d’y exercer des contrôles. Si ces visites sont nécessaires, voire indispensables pour la défense des droits de chacun, la façon dont cette « visite » s’est effectuée fut brutale et très mal perçue par les convives attablés. Le respect de la clientèle présente est quand même un élément essentiel que l’on ne peut ni ne doit ignorer !